Publié dans Culture

Portrait - Khélène, la diva du « Tsapiky »

Publié le vendredi, 28 janvier 2022


Belle, élancée avec une plastique de rêve aux mensurations plantureuses, Khélène a également un visage qui plait. Ses courbes bien dessinées sont achevées dans leur finition par un signe qui fait office de grain de beauté sur sa paumette. Originaire de la Région de Menabe, Khélène, de son vrai nom Hélène Kotozetsika s’est baigné dans la musique depuis son tendre enfance. Mais ce n’est que dans les années 2009 qu’elle décide de montrer son talent à tous les férus de la musique tropicale. Elle lance alors le single « Ngoma », une chanson qui, certes, n’a pas beaucoup cartonné et ce jusqu'au moment où elle ait réussi à trouver son mentor. Cet oiseau rare, c’est Haja de BM Prod, un producteur de gros calibre comme Barinjaka ou If Clarck. L’harmonie entre les deux est totale, à tel point que ce producteur est devenu son compagnon dans la vie. Considérée comme l’une des artistes les plus populaires de la grande île, Khélène a accumulé une impressionnante série de réalisations depuis le lancement de sa carrière il y a près d’une décennie, ce qui lui a permis ainsi de suivre les traces des autres icônes du monde musical. A en déduire que la belle a brillamment réussi à trouver une place au sein de la grande famille des chanteurs populaires, notamment grâce à sa maîtrise de quelques styles comme le Sud Af, mélangé avec des chansons de variété et bien sûr du « Tsapiky ».

Fixé
Il faut dire que la sublime chanteuse Khélène a fait tourner tant de têtes depuis son arrivée fracassante dans la scène musicale avec son tube « Poketra vy ». Depuis, elle fait fondre le cœur de ses fans avec des enchaînements de nouveaux morceaux tels que « Efa antagnan’olo » ou encore « Courage ». Cette artiste ne laisse personne indifférente. Que ce soit par son talent de danseuse hors pair, ou pour son joli minois, la belle vous a sûrement tapé dans l’œil. Sa musicalité et sa technique la rendent aussi forte en interprétant des chansons aux rythmes plus accélérés. Raison pour laquelle on a tout de suite retenu son nom.
Bien que Khélène fût absente de la scène tananarivienne depuis quelque temps, elle projette un retour en force pour cette année. Néanmoins, la chanteuse a effectué de nombreux concerts dans quelques Districts de la Grande île, à l’instar de Besalampy, Soavinandriana-Itasy,…
Sitraka Rakotobe

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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